Cela porte un nom et Louis Chedid l’a superbement chanté, c’est le Blues du dimanche soir …
Lentement, insidieusement, s’insinue en nous dès que l’après midi dominical décline, cette étrange inquiétude, pourtant si familière, le morne voile qui brouille nos dimanches soirs.
Comme un refus de sortir du cocon dominical, une angoisse qui étreint, affadit la soirée : le temps passe trop vite, particulièrement le week – end.
Chaque dimanche soir, il nous faut en faire le deuil, parfois même au prix d’un sommeil qui tarde à venir.
Changement de rythme, anticipation négative, ou trouble révélateur d’un malaise plus profond : ce syndrome s’adresse à tous, de l’enfant à l’adulte.
Comment apprivoiser cette angoisse et (re)donner à la transition dominicale toute sa place, au même titre que le tant attendu vendredi soir ?
Commencer par se dire – et c’est très important – que vous n’êtes pas seuls, puisque ce blues touche directement ou indirectement 50 % de la population française. Et puis, au-delà de ce constat sociétal, partir à la rencontre des émotions qui génèrent cet état d’âme. Prendre un rendez-vous avec soi-même.
Un atelier Fleurs de Bach, en ce qu’il vous permettra de mettre des mots sur vos appréhensions, pourra vous accompagner dans votre démarche de mieux-être. Partir à la rencontre de vos émotions, remonter le courant de l’angoisse diffuse, de la tristesse, de certaines peurs …
La méthode Bach comprend 38 élixirs répondant à chacune de vos émotions.
A lire, en amont ou en aval : Vaincre le blues du dimanche soir, de Florian Ferreri et Gautier Bouchaud, aux Editions Hachette Bien-être.